dimanche 14 décembre 2008

FICTION (13)

Comme je ne sais plus quoi répondre, je ne réponds pas. Comme je suis épuisé, je n'ai pas envie de m'épuiser plus. Comme je ne sais pas ce qu'il faudrait changer, je ne change rien.
Et je laisse les choses se passer... Je les laisse glisser.

Non pas que je n'en pense rien, non pas que je m'en fiche. Loin de là.

Simplement parce que je pense que les vents contraires sont trop forts, et qu'il est doux de se laisser dériver parfois.

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